Das Drama im Blick Als Göttervater Wotan entwickelt Thomas J. Mayer da deutlich mehr gestalterisches Profil und hat in seiner Paraderolle mit Elisabeth Kulman eine Partnerin zur Seite, die Fricka nie zur keifenden Furie reduziert und mit warmem Mezzo für sich einnimmt. Tobias Hell, OVB online, 2.3.2015
Wer wagt mich zu höhnen … Mais le plus intéressant étaient les Wesendonck Lieder, interprétés par Elisabeth Kulman, et accompagnés par nos musiciens qui en avaient réalisé l’arrangement. J’avais déjà eu l’occasion de parler de cette merveilleuse chanteuse qui a été la Fricka du Ring de Lucerne ainsi que celle de la Walkyrie de Valence.
La mezzo autrichienne Elisabeth Kulman impose une saisissante Fricka, totalement maîtresse de sa tessiture et de son rôle, avec une déclamation taillée dans le roc et une intériorisation parfaite de son personnage. Emmanuel Andrieu, ClassiqueInfo.com, 26.9.2013 Die österreichische Mezzosopranistin Elisabeth Kulman imponiert mit einer in Fels gemeißelten Deklamation und einer perfekten Verinnerlichung ihres Charakters eine
Götterdämmerung par Jonathan Nott Bamberger Sinfoniker–Bayerische Staatsphilharmonie … Dans la droite ligne de sa Fricka, Elisabeth Kulman est une Waltraute bouleversante. L’autorité souveraine du legato se diffuse à l’intérieur des phrases avec une force stupéfiante. La couleur de la voix est superbe et d’une ampleur généreuse à souhait. Son dialogue – plutôt le face-à-face ou
Das Podium als Bühne Als Meilenstein in seiner 75-jährigen Geschichte bezeichnet Lucerne Festival die erste komplette Aufführung des «Ring des Nibelungen» im KKL. Sie war weit mehr als ein Konzertereignis für die Stadt, wo Wagner einst das «Siegfried-Idyll» komponierte. Vier umjubelte «Konzerte» zu Richard Wagners 200. Geburtstag machten den weissen Konzertsaal des KKL zur Bühne
Quel contraste avec la bouleversante Fricka d’Elisabeth Kulman ! Les accents furibonds jouent avec autorité au cœur même de la palette du mezzo. Rarement la conjonction de maîtrise technique et d’incarnation psychologique aura été portée à un tel point d’ébullition. Inutile de remonter dans la discographie du rôle pour retrouver approximativement ce qu’il nous est
Une fois de plus, comme dans Fricka, Elisabeth Kulman fait la démonstration dans Waltraute d’un chant maîtrisé, intelligent, d’un texte mâché avec soin. Elle tient la partition, mais finalement ne s’en sert pas, et réussit en peu de temps à capter l’attention du public, exceptionnellement silencieux par ses seules paroles, sans gestes superflus (alors que
La Fricka d’Elisabeth Kulman est, en revanche, une absolue merveille, dépassant de loin tout ce qu’il nous a été donné d’entendre (discographie comprise). Le legato est subtil et semble venir de tout le corps, tout comme ces changements de registre effilés avec une surface vocale dont la trajectoire résonne d’un bout à l’autre de la
Elisabeth Kulman fait à nouveau un tabac mérité avec une Waltraute superbe et fascinante. Paris-Broadway, 5.9.2013
Mais je vous rassure, le remarquable vient enfin. D’abord, honneur aux dames, par la Fricka exceptionnelle d’Elisabeth Kulman, déjà remarquée dans la Walküre de Munich en janvier dernier et hier dans Rheingold. D’abord, il y a un style et une diction modèles, ensuite, il y a une intelligence du texte telle qu’on a l’impression que