Wagners Ring: Lucerne Festival … Mais c’est le deuxième acte qui devient rapidement incandescent avec la Fricka déchaînée et sublime d’Elisabeth Kulman, un véritable tourbillon qui emporte tout sur son passage et entraîne tout le reste : l’orchestre, chauffé à blanc, ainsi que les autres chanteurs. … Paris-Broadway, 1.9.2013 … Aber es ist der zweite
Salzburger Festspiele: Falstaff … Les joyeuses commères de Windsor sont interprétées avec charme et des voix fraîches par Fiorenza Cedolins (Alice), Eleonora Buratto (Nannetta), Stephanie Houtzeel (Meg) en Elisabeth Kulman (une Quickly hors du commun). … Erna Metdepenninghen, Crescendo, 24.8.2013 … Die fröhlichen Weiber von Windsor werden mit Charme und frischen Stimmen interpretiert von Fiorenza
Salzburger Festspiele: Falstaff … Seule commère à retenir l’attention, la Quickly très aristo d’Elisabeth Kulman, parfaitement homogène et d’un recours à la voix de poitrine irréprochable, présente mais jamais virago. … Yannick Millon, altamusica.com, 4.8.2013 … Der einzige Klatsch, der die Aufmerksamkeit auf sich zieht, das sehr aristokratische Quickly von Elisabeth Kulman, vollkommen homogen und
… Extraordinaire aussi Elisabeth Kulman dans Fricka. … elle fut tout simplement la meilleure Fricka entendue depuis longtemps, elle a la puissance, les aigus, la couleur, l’engagement, la violence, l’ironie et surtout la présence fascinante. Une immense prestation qui laisse augurer d’une belle carrière, car la voix est intrinsèquement et belle, et ronde, et claire.
Hans Sommer: Chants de sapho op.6 lieder avec orchestre Elisabeth Kulman. Bo Skovhus. Bamberger Symphoniker. Bayerische Staatsphilharmonie. Sebastian Weigle (direction) Hans Sommer (1837-1922), « expert en sciences naturelles et professeur de mathématiques » n’embrassa la carrière de compositeur que sur le tard, encouragé par Franz Liszt qui lui dit à propos des « Chants de
Diapason découverte Voici un compositeur à redécouvrir sans tarder ! Mathématicien et physicien, Hans Sommer embrasse d’abord une carrière scientifique. A plus de quarante ans, il décide de se vouer à la musique et compose les Chants de Sappho (1884-1885). Il publie ensuite de nombreuses mélodies avec piano, orchestrant seulement Odysseus (1901) et un recueil
Staatsoper Wien: Kurt Weill, Aufstieg und Fall der Stadt Mahagonny Avec une mention particulière pour le ténor britannique Christopher Ventris, campant “Jim Mahoney”, et surtout pour la mezzo-soprano autrichienne Elisabeth Kulman, sombre et menaçante à souhait comme “Leokadja Begbick”. AFP/LCC, 25.1.2012
Staatsoper Wien: Wagner – Götterdämmerung … Les seconds rôles sont tous admirablement tenus avec une mention spéciale pour Mihoko Fujimura en Waltraute, la deuxième norne d’Elisabeth Kulman et la Flosshilde de Juliette. –
Staatsoper Wien: Tschaikowski – Pique Dame Quel bonheur que cette partition ! Le don mélodique infini de Tchaïkovski, combiné à son talent pour créer des atmosphères musicales en clair-obscur, dans lesquelles les violoncelles et les bois sont fréquemment au premier plan, est une source inépuisable de plaisir. Sous la baguette attentive d’Ozawa, la partition se
Opéra National Paris: Gluck – Orpheus und Euridyke Bon, à vrai dire, la partie purement vocale eut un peu de mal à tenir le niveau, littéralement submergée par la danse. Néanmoins, il convient de souligner le beau timbre et le style parfait de la mezzo autrichienne Elisabeth Kulman (Orphée) ainsi que la belle tenue vocale